Février : arrivage de fumier de cheval.
J'essaie de me procurer du fumier de cheval à partir du mois d'octobre, afin de pouvoir recouvrir la terre de mon potager durant la période hivernale.
Cette année, celui-ci n'a pu m'être livré qu'en février.
Je profite donc de belles journées ensoleillées pour étaler cet engrais naturel sur les différentes parcelles de mon potager.
En priorité les espaces qui accueilleront les légumes "gourmands" (cucurbitacés, tomates) :
Les pieds de rhubarbes ont aussi droit à leur ration de fumier.
Je dégage le broyat déposé en automne, dépose le fumier (5 à 10 cm maxi) et recouvre avec le broyat.
Je n'oublie pas mes petits fruitiers (cassis, groseilles) et mes framboisiers.
Les rosiers adorent aussi cet engrais. Une pellettée au pied de chaque rosier :
Et voilà, c'est terminé. Je vais laisser les prochaines nuits froides et journées pluvieuses se charger de faciliter l'incorporation de cet engrais dans le sol.
Fin avril, quand je préparerai mes parcelles, je me contenterai de passer un coup de griffe afin d'incorporer le fumier dans la terre. Le fumier non décomposé sera enlevé et intégrera le composteur. Il profitera des prochains mois pour se décomposer et se transformer en compost.
Ce compost sera déposé sur la terre en automne.
Le cercle est ainsi bouclé.